Les Aventures De David Ep 20 : Les Ballons
LES AVENTURES DE DAVID 20
Ep 20 : LES BALLONS
Ça fait déjà un moment que nous avons laissé David en plein préparatif pour le centenaire de l'arrivé de son aïeul Jérémy ( Djé ) dans cette université. Il me semble que le dernier épisode se terminait ainsi ...
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La discussion avançait, dehors il faisait un temps magnifique mais brusquement le ciel se couvrait, en quelques instants il faisait très sombre dans la pièce. C'était pas un nuage !
Lucien : Ça y est ils arrivent !
David : Mais de quoi vous parlez ?
David allait jusqu'à la fenêtre, regardait le ciel. Un gigantesque dirigeable à basse altitude cachait complètement le ciel, c'était à la fois magnifique et inquiétant
David : Mais c'est quoi ce truc ?
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C'était gigantesque, il volait a basse altitude, sans aucun bruit, il était tellement long et large que David avait l'impression qu'il recouvrait la ville tout entière
David : Mais c'est quoi ce truc ?
Le cadre de la PK prenait la parole .
'' Ce doit être le B.O.B 01 . Un vieux projet qui se préparait dans le plus grand secret. Un dirigeable géant. Un paquebot des airs, mille passagers, l'équipage, et des réserves pour une semaine... Un rêve que Monsieur Bob avait fait, il a passé les dernières années de sa vie à travailler sur ce projet
Des hôtels volants
Des paquebots des airs
Des cargos à la fois économiques et écologiques
Ça ne consomme presque rien pour rester en l'air ce genre de truc
''
David : On verra mieux sur la terrasse !
Il se précipitait chez lui à l'étage du dessus, tout le monde le suivait et se retrouvait sur la terrasse
Le ballon était tellement grand qu'il couvrait presque tout le ciel
Au bout de quelques instants tous les regards se portaient vers Lucien, il semblait savoir de quoi il s'agissait .
Lucien : Huit cent mètres de long, une charge considérable, cinq pistes datterrissage pour recevoir les navettes avec le sol
Il y a des ballons plus petits qui assurent les retransmissions télé ou téléphoniques, ces appareils ne consomment presque rien pour rester en vol, aussi ces derniers restent en position au dessus d'une ville à plus de trente kilomètres pendant plus d'un an.
Le gros ballon avançait et on voyait le ciel réapparaître derrière lui
Lucien : Ah ! Non, je me suis trompé celui là c'est le B.O.B 03, regardez là bas on voit le 01 il y a aussi le 02 de l'autre côté qui arrive
Pas de problème
Ils sont là tous les trois.
Ils regardaient ces appareils qui se dirigeaient vers la périphérie de la ville, et se plaçaient en vol circulaire autour de la ville à environ trois cent mètres d'altitude. Ils n'avaient pas passé inaperçu, c'était voulu. La télévision n'allait pas louper l'événement.
Philippe : Mais ils sont devenus fous au conseil d'administration, c'était pas prévu ça !
Lucien : La présence de Mr David Brosso non plus !
Philippe : C'est à cause lui ?
Lucien : Oui ! Quand on a appris la présence de notre prochain directeur, la décision a été prise, les ballons étaient en vol d'essais, un en Afrique, un autre traversait lAntarctique, et le troisième faisait un vol dendurance, autour de la planète. J'ai pas compris tout de suite pourquoi on avait reçu pour consigne de ne pas faire de pub pour ces vols ni pour ces appareil, les médiats n'en ont presque pas parlé
On les gardait pour le grand jour
Le gratin de la PK sera logé dans ces appareils
David : C'est donc ça les chambres flottantes ?
Lucien : Monsieur Brosso, vous êtes déjà au courant ? Bravo ! Il sera difficile de vous cacher quelque chose quand vous dirigerez le groupe !
Avant la fin de la journée les trois dirigeables tournaient, comme en orbite autour des limites de la ville.
Philippe : Dis moi David ! Tu es seul là ou quoi ?
David : Non ! François est là !
Philippe : Bien alors je vous propose une soirée dans un des dirigeables
Resto et une nuit dans la suite présidentielle avec petit déjeuner
Ça vous tente les jeunes ?
François : Alors là, moi oui, je suis partant !
David : Il faut faire quoi ?
Philippe : Vous vous habillez bien, c'est une sortie mondaine, un taxi viendra vous chercher dans une heure.
David : Un taxi ? Mais j'ai ma voiture !
Philippe : Sur la terrasse dans une heure !
François : Sur la terrasse ?
Les deux garçons allaient se préparer, une demie heure plus ils débarquaient chez Philippe. C'est le père de David qui ouvrait !
Le père : David ! Mais vous allez ou comme ça ? Vous vous êtes fait tout beau ! Vous sortez ?
David : On va au resto dans le ciel, grand père est là ?
Le père : Dans le salon ! Alors c'est donc toi François ?
François était un peu embarrassé, il commençait à connaître Philippe mais il ne connaissait pas les parents de David. Il suivait David dans le salon !
Philippe : Vous êtes superbes les jeunes. Prêts à faire un tour dans les étoiles ? Il vont manger au restaurant d'un des ballons ! ( à l'intention des parents de David )
Il ne fallait par traîner le taxi ne pourrait pas attendre, il y avait plusieurs services et ils ne pouvaient donc pas être en retard. Les deux garçons montaient donc sur le toit ...
David : Monter sur le toit pour attendre un taxi. C'est un monde fou !
François : Moi j'ai pas tout compris, le taxi il nous conduit ou ? J'aurais pensé attendre le taxi dans la rue pour qu'il nous conduise à un héliport ou un truc comme ça
Quelques instants plus tard un bruit de turbine se faisait entendre, ça ne faisait pas trop de bruit finalement.
C'était magique, avec une extrême légèreté le petit appareil se déplaçait rapidement, prenait de l'altitude. Ils avaient l'impression d'être suspendus dans le vide. Plus ils s'approchaient du ballon plus celui-ci semblait énorme, il n'était pas énorme, il était gigantesque. Tout un tas de sas avaient été installé pour recevoir ces taxis et débarquer les passagers confortablement. Des dames en descendaient en robe de soirée, des messieurs en costume
On y voyait le maire, le gouverneur qui s'était déplacé pour l'occasion, le chef de la police, enfin toutes les personnes les plus importantes de la ville
Tous ces gens venaient saluer le couple directeur , David et François, très chaleureusement
Même s'ils ne connaissaient pas François, ni le type de relation qu'ils avaient ensemble.
François y croisait même son patron. Mais pour qui est-ce que c'était le plus embarrassant ? Pour François ou pour son patron
François était en compagnie du big-big boss
Enfin on y venait pour voir et être vu et tout ce joli monde se saluait et se souriait ! C'était la règle !
La salle ne ressemblait en rien à ces salles de banquer, elle était d'assez petite taille, et on recherchait les tables qui donnaient directement vers la baie vitrée, la vue était tout simplement époustouflante
David avait une table d'honneur, on le plaçait avec Mr et Mme Marthe avec le gouverneur le maire et quelques autres personnalités de la PK. Will n'était pas là ! Leur table était complètement à larrière de la structure et leur champ de vision était de près de cent quatre vingt degrés sur la ville et ses alentour. C'était la meilleur table, ils pouvaient également voir toute la salle du restaurant ! Pendant le repas le soleil tombait, la nuit montait, ils pouvaient profiter d'un magnifique lever de lune alors que les lumières de la ville s'allumaient les unes après les autres.
La suite présidentielle surprenait David. Elle faisait à peine quinze mètres carré ( au total ), le plafond était bas à peine plus de deux mètres. En fait pour les autres chambre on parlait plus de cabine que de chambres. Mais bon on était dans le ciel et dans la journée il n'était pas rare de voir passer des oiseaux par les fenêtres, ce n'était pas des hublots mais de vraies fenêtres et même par endroit de vraies baies vitrées.
Allongés sur le lit, les deux garçons n'en croyaient pas leurs yeux, la tête du lit semblait posée dans le vide, la vue était incroyable, on voyait ce qui se passait juste en dessous, à trois cent mètres plus bas, sur un angle de cent quatre vingt degrés la encore. C'était petit mais d'un grand confort.
Ils restaient un long moment à regarder le paysage défiler lentement, reconnaissaient la forêt, le lac et la rivière ou ils s'étaient rencontrés, les installations sportives en périphérie de la ville et ce gigantesque campus au milieu de la ville.
David : Il n'y a pas à dire, la PK fait toujours les choses en grand !
François : Ça te fait peur ?
David : Pourquoi ça devrait me faire peur !
François : C'est un groupe très puissant.
David : Et
?
François : Tu en seras le maître !
David ne répondait rien, il restait là, pensif à admirer le spectacle. François se glissait contre David, tout contre
Il le regardait avec un grand sourire, glissait une main dans son dos puis, tendrement lui donnait un baiser. La lune avait disparue, la queue du dirigeable la cachait mais sa lumière donnait au paysage une beauté irréelle, magique
David se retournait sur le dos et prenait son amant dans ses bras. C'est dans les yeux de François qu'il regardait le paysage.
François prenait bien son temps pour déboutonner la chemise de David, un bouton, un baiser puis
Encore un baiser. Il faisait rire David, il le chatouillait un peu
Un autre bouton
Encore un baiser. Quand il arrivait au dernier bouton, il remontait en embrassant le corps de David partout ou il l'avait déjà embrassé et un peu plus même. Il caressait le corps de David avec l'extrémité de son nez en s'attardant bien longuement sur les tétons, rajoutait une très douce caresse du bout de la langue. David ne résistait pas, il préférait capituler. Quand leurs lèvres se retrouvaient les bras de chacun enlaçaient l'autre.
Les chemises s'empilaient sur le sol, suivaient les pantalons et tout le reste. Le pénis de François se relevait avec force, la queue de David poussait fort, très fort contre son dispositif de chasteté. La douceur de la peau de
La douceur de leurs peaux ne risquait pas de calmer David. Ils roulaient l'un sur l'autre, chacun caressait le corps de l'autre avec son propre corps.
Quand par moment ils se calmaient, ne bougeaient plus, c'était pour regarder le décor de rêve dans les yeux de l'autre. Le vertige qu'ils éprouvaient venait-il du paysage, de l'altitude, du léger balancement qui se laissait à peine sentir ou tout simplement de leurs caresses. Le calme était particulier dans cette cabine, les dirigeables ont toujours été d'un grand confort et d'une tranquillité totale mais là, avec la propulsion électrique ces nouveaux modèles l'étaient encore plus que les modèles des temps passés. Ils avaient vraiment l'impression de flotter, de flotter très agréablement.
François tenait David dans ses bras, il le serrait contre lui en le caressant, ils s'embrassaient, David se retournait puis se retournait encore. François s'allongeait sur le dos et David profitait de la position pour se pencher sur son amant et lui sucer doucement et longuement la queue. François bandait ferme, David avalait sa queue avec aisance, sur toute la longueur puis lui gobait les couilles. Il prenait de nouveau cette queue dans la bouche, passait la langue tout autour du gland. Il relevait la tête et lui caressait la bite avec la main, avec beaucoup de douceur puis il recommençait. François respirait fort, de la main il caressait les cheveux de David, appuyait doucement sur sa tête. Sa queue pénétrait jusqu'au fond de la gorge de son camarade.
Ils semblaient s'agiter, gigoter avec lenteur. Ils se retournaient l'un sur l'autre pour se retourner encore. Dans la célèbre position du soixante neuf, David suçait toujours la queue de François, il bandait fort
Je voulais dire David bandait fort même si presque rien ne se voyait il y avait une grosse pression dans sa cage de chasteté. François lui caressait les couilles et David appréciait, ils se gobaient les couilles l'un l'autre, c'était un petit plaisir que David pouvait encore recevoir malgré son dispositif PK.
François glissait un doigt entre les fesses de David, il lubrifiait avec de la salive, David suçait avec plus de force à ce moment et François lui glissait un doigt dans le cul, il en glissait rapidement un second puis les agitait. David n'arrêtait pas de sucer, il avalait la queue sur toute sa longueur, François respirait fort de nouveau, il tentait de se retenir, de faire durer le plaisir
Il sentait David vibrer contre lui quand il agitait les doigts, il sentait le plaisir monter, se retenait
Puis il lâchait tout, il ne pouvait plus se retenir et éjaculait dans la bouche de David, il agitait les doigts de plus en plus vite. David continuait à sucer la queue de François. Et finissait lui aussi par juter et se cramponnait à François, sa queue bien enfoncée dans sa gorge, il tremblait, gémissait puis se détendait, il retirait son visage pour reprendre son souffle et se laissait tomber, allongé à côté de François.
Ils ne bougeaient plus, il reprenaient leur souffle. Ils se sentaient bien, le paysage toujours éclairé par la lumière magique de la lune continuait à défiler doucement trois cent mètres plus bas
La douche était petite, il n'y avait pas de baignoire. C'était peut être la suite présidentielle mais on n'était pas au sol
Ils s'allongeaient sur le ventre l'un contre l'autre, ils laissaient leurs yeux dépasser du lit et ils s'endormaient en regardant le sol défiler sans fin
Le matin on frappait à leur porte, François allait ouvrir, c'était le steward qui réveillait les passagers. On leur laissait le temps de s'habiller en prenant un petit déjeuner dans leur chambre
C'était tout de même la suite présidentielle !
En fait la salle à manger était transformée en pont promenade, un bar y était installé, des tables hautes et pas de chaises. C'est dans cette configuration que les passagers pourraient assister aux festivités. Aucune place n'était réservée pour David qui était attendu à la tribune d'honneur, au sol !
Avec son compagnon David faisait le tour du pont promenade, enfin des deux ponts promenade, la nacelle du ballon s'étendait sur plusieurs niveaux
un moment David s'isolait de son ami François sous prétexte de téléphoner à ses parents, en fait il appelait son voisin José.
David : José, il faut que je vous demande un quelques chose, si c'est possible !
José : Mais bien sûr Mr Brosso, tout ce que vous voulez.
David : Voilà il me faudrait quelques places dans une nacelle pendant l'inauguration
José : Mais vous savez qu'on vous attend à la tribune officielle ! Au sol !
David : Oui mais ce n'est pas pour moi, je voudrait faire ce petit cadeau à quelques amis !
José : Dans ce cas là ça ne pose aucun problème, je vous en réserve combien ?
David en réservait deux pour chacun de ses colocataires et quelques autres amis
Ça sert à ça, d'être le numéro un dans un groupe comme la PK
Il savait pourtant que les places seraient convoitées
José : S'il y a des annulations, pas de problème, il suffira de m'avertir
Même au dernier moment ! Les places seront convoitées, il y aura toujours quelqu'un pour prendre une place qui viendrait à se libérer !
Le pont promenade se vidait lentement, les navettes faisaient le va et vient entre les ballons et le domicile des visiteurs. Ces appareils minuscules, moins gros qu'une voiture, et je ne parle pas de celle de David qui était de taille XXL, pouvaient se poser dans un parking, une place de stationnement, ou sur la terrasse de l'appartement à David. Avec François ils n'avaient plus qu'à descendre ils étaient à la maison
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